[ aujourd'hui, il adécider de mettre fin a mes jours, il a 14 ans
pourquoi, personne n'en sais rien,il avais la joie de vivre aparante et il a bien caché son jeu...
ses amis pleure car personne ne peut le ramener il c pendu
dites vous qu'il et mieux là ou il ai
ce soir il a mi fin a ses jour ver 16h ou 17h
le 16 septembre il n'a même pas penser a nous laisser un adieu...
mais la vie continu alors ne nous arrêton pas et ne faites jamais ce quil a fais...
post non vérifié par la rédaction
homophobie, 1ere cause de suicide chez les ados
Suicides d'adolescents : la Défenseure des enfants mentionne les cas liés à l'homosexualité
A l'occasion des 12e Journées nationales pour la prévention du suicide, la Défenseure des enfants appelle à un plan d'urgence en faveur des adolescents et mentionne l'homosexualité comme cause du suicide d'un grand nombre d'entre eux. La Défenseure des enfants, Dominique Versini, a demandé lundi la mise en place "en urgence" d'une stratégie nationale destinée à prévenir, repérer et prendre en charge le plus en amont possible, les adolescents en souffrance psychique.
Alors que les 12e Journées nationales pour la prévention du suicide s'ouvrent mardi sur le thème "addiction et suicide", elle a rappelé dans un communiqué que 567 décès par suicide ont été enregistrés chez les 15-24 ans en 2005 et s'est inquiétée du chiffre des tentatives de suicide qui "restent stabilisées autour de 40.000 par an".
La Défenseure des enfants a souligné "qu'un quart des tentatives de suicide des garçons de 15 à 24 ans et 10% de celles des filles du même âge étaient liées à un problème d'homosexualité".
En effet, selon les associations LGBT qui ont travaillé sur cette question, les tentatives de suicide sont quatre à sept fois plus nombreuses chez les jeunes homos que chez les hétéros du même âge. Un quart des garçons ayant commis une tentative de suicide évoque un mal-être lié à l'homosexualité et la première cause incriminée est l'homophobie qui reste virulente dans les collèges et les lycées et chez les parents.
Dominique Versini a souhaité "généraliser la formation de tous les professionnels en contact avec les adolescents pour repérer le plus tôt possible les signes d'alerte".
Elle a aussi estimé qu'il faut "sensibiliser et informer les parents sur le repérage des signes éventuels de mal-être de leur enfant".
Parmi les autres mesures préconisées figurent le développement "sur tout le territoire de maisons des adolescents", la "gratuité du numéro national Fil Santé Jeunes (0800 235 236) à partir des téléphones mobiles", la mise en place d'un "plan national pour régler la crise des centres médico-psychologiques saturés" (6 mois d'attente pour un rendez-vous) ou encore l'organisation d'un "accueil spécifique pour les adolescents dans les urgences hospitalières".
.
Partage